Penchak Silat et Arts Martiaux du sud-est asiatique
Travaillez votre explosivité, Améliorez votre dextérité, Devenez d'une efficacité redoutable pour vous défendre
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" Le silat et les arts martiaux du sud-est asiatique sont assez peu développés par rapport à leurs équivalent japonais et chinois. Pourtant, ils sont tout aussi riches. Se caractérisant sur une pratique pensée à la base pour les armes, ces arts martiaux sont redoutables d'efficacité à courte distance et totalement non conventionnels dans les techniques proposées. Ceci en fait des disciplines parfaites pour approcher la self-défense"
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" Le silat et les arts martiaux du sud-est asiatique sont assez peu développés par rapport à leurs équivalent japonais et chinois. Pourtant, ils sont tout aussi riches. Se caractérisant sur une pratique pensée à la base pour les armes, ces arts martiaux sont redoutables d'efficacité à courte distance et totalement non conventionnels dans les techniques proposées. Ceci en fait des disciplines parfaites pour approcher la self-défense"
Mawar Tangan Panglipur Silat
Le « Pencak Silat » est un terme générique pour nommer les arts martiaux Indonésiens et Malais ou encore des Philippines, du Brunéi ou de Singapour. Cette nomination récente s’inscrit dans une longue tradition et revêt ainsi une complexité culturelle qui s’est accrue avec l’émergence de l’aspect sportif.
La pratique proposée à l’ADDAM 31 est issue des arts martiaux du Sud Est Asiatique en priorité d’une part, le Silat Panglipur représenté en France par James Nener et dans le monde par Cecep Arif Raman et d’autre part, du silek Minangkabau, du Pukulan Cimande Pusaka, du Silat de l’école Majapahit Kali, du Panatukan et du Muay Boran.
Le terme Mawar - ajouté à la dénomination du style Panglipur -signifie en Indonésien « la Rose ». Cette fleur fait référence au premier style de Silat étudié par l’instructeur pour lequel le pratiquant de Silat recherche une forme d’esthétisme dans sa pratique : l’adversaire voulant la cueillir y trouvera des épines.
Quant au terme Tangan – la main, elle revêt dans la pratique des arts martiaux du Sud Est Asiatique une importance culturelle particulière en rapport avec l’influence des danses traditionnelles de l’Inde.
L’enseignement , orienté vers une finalité martiale, vise principalement à développer :
Les entraînements se déroulent par un travail d’échauffement/étirement spécifique notamment pour les ligaments et les articulations, une étude des principes fondamentaux des différentes écoles de Silat et des autres disciplines et un travail régulier avec partenaire permettant la mise en application de la forme de corps et de l’état d’esprit recherché.
Le « Pencak Silat » est un terme générique pour nommer les arts martiaux Indonésiens et Malais ou encore des Philippines, du Brunéi ou de Singapour. Cette nomination récente s’inscrit dans une longue tradition et revêt ainsi une complexité culturelle qui s’est accrue avec l’émergence de l’aspect sportif.
La pratique proposée à l’ADDAM 31 est issue des arts martiaux du Sud Est Asiatique en priorité d’une part, le Silat Panglipur représenté en France par James Nener et dans le monde par Cecep Arif Raman et d’autre part, du silek Minangkabau, du Pukulan Cimande Pusaka, du Silat de l’école Majapahit Kali, du Panatukan et du Muay Boran.
Le terme Mawar - ajouté à la dénomination du style Panglipur -signifie en Indonésien « la Rose ». Cette fleur fait référence au premier style de Silat étudié par l’instructeur pour lequel le pratiquant de Silat recherche une forme d’esthétisme dans sa pratique : l’adversaire voulant la cueillir y trouvera des épines.
Quant au terme Tangan – la main, elle revêt dans la pratique des arts martiaux du Sud Est Asiatique une importance culturelle particulière en rapport avec l’influence des danses traditionnelles de l’Inde.
L’enseignement , orienté vers une finalité martiale, vise principalement à développer :
- une forme de corps axée sur l’intention dans le mouvement en adaptant la pratique à la particularité de chaque pratiquant,
- un état d’esprit axé sur la conscience que, pour le moins, être « avec » est finalement préférable qu’être « contre » comme nous l’enseigne l’étymologie de « combattre ».
Les entraînements se déroulent par un travail d’échauffement/étirement spécifique notamment pour les ligaments et les articulations, une étude des principes fondamentaux des différentes écoles de Silat et des autres disciplines et un travail régulier avec partenaire permettant la mise en application de la forme de corps et de l’état d’esprit recherché.
Les entraînements ont lieu le mardi de 20h30 à 22h au dojo de l'espace René Lavergne
Ils sont dispensés par Didier Rambaud, titulaire du CQP APPAM
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